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Législation 2024
sur la pêche

Zone Bretagne nord

RÈGLEMENT (UE) 2024/257 DU CONSEIL du 10 janvier 2024 établissant, pour 2024, 2025 et 2026, les possibilités de pêche pour certains stocks halieutiques, applicables dans les eaux de l’Union et, pour les navires de pêche de l’Union, dans certaines eaux n’appartenant pas à l’Union, et modifiant le règlement (UE) 2023/194 (articles 10, 11 et 12).

 

Pêche de loisir du bar et du lieu jaune en mer Celtique, Manche, mer d’Irlande, mer du Nord méridionale et golfe de Gascogne en zone économique exclusive française

 

Nord du parallèle 48°N

  • Bar

    • Du 1er février 2024 au 31 mars 2024 : la détention à bord, le transbordement, le transfert ou le débarquement de bar capturé dans les eaux de la zone économique européenne bordant les côtes françaises au nord du parallèle 48° N (divisions CIEM 4b et 4c et sous-zone CIEM 7) sont interdits. Seule la pêche à la canne ou à la ligne à la main suivie d’un relâcher est autorisée dans cette zone, y compris depuis la côte.

    • Du 1er janvier au 31 janvier et du 1er avril 2024 au 31 décembre 2024 : pas plus de deux spécimens de bar ne peuvent être capturés et détenus par pêcheur et par jour, y compris depuis la côte.

    • La pêche de bar à l’aide de filets fixes est interdite.

 

Sud du parallèle 48°N

  • Bar

    • Dans les eaux de la zone économique européenne bordant les côtes françaises au sud du parallèle 48° N (divisions CIEM 8a et 8b), pas plus d’un spécimen de bar ne peut être détenu par pêcheur et par jour, y compris depuis la côte. La pêche de bar à l’aide de filets fixes est interdite .

  • Lieu jaune

    •  Du 1er janvier au 30 avril, aucun spécimen de lieu jaune ne peut être capturé et détenu dans les eaux de la zone économique européenne bordant les côtes françaises au sud du parallèle 48° N (sous-zone CIEM 8). Seule la pêche avec relâche du poisson vivant immédiatement après la capture est autorisée, y compris depuis la côte.

    •  Du 1er mai au 31 décembre, pas plus de deux spécimens de lieu jaune ne peuvent être capturés et détenus par pêcheur et par jour, y compris depuis la côte. Une fois ce plafond atteint, seule la pêche avec relâche du poisson vivant immédiatement après la capture est autorisée.

 

Taille minimale

  • La taille minimale de conservation pour le bar européen est 42 centimètres.

  • La taille minimale de capture pour le lieu jaune est fixée à 30 centimètres.

Une belle pêche

Photo : Une langouste trop petite remise à l'eau par son pêcheur

Pêcheurs à pied ou en bateau
Ensemble respectons la nature

Législation relative aux tailles minimales de vos prises.
Cliquez sur le bouton ci-dessous

Voilier Penvenan.jpg

Trucs et Astuces

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Une sélection d'informations concernant la "pêche plaisance".
Vous pouvez alimenter cette rubrique en nous envoyant par mail les infos ou conseil pratique concernant la "pêche plaisance" que vous souhaiteriez partager avec les amicalistes dans cette rubrique

Matelotage, pêche, mécanique , voile...

Hivernage (9/9/2013) Par Jean Le Graet

L'été touche à sa fin. Bientôt l'automne nous enveloppera de son manteau douillet de brumes matinales et de crachins avant-coureurs des rigueurs de l'hiver. Encore quelques semaines de sorties en mer, certes, mais il faudra songer, bientôt, à  « hiverner » son fidèle serviteur : je veux parler de cette embarcation flottante que nous appelons tous «mon bateau »


Après avoir servi toute une saison, il mérite, lui aussi, quelques attentions de nature à le réconforter pour qu'il puisse, au printemps prochain, repartir, sans défaillances, à la reconquête de son milieu naturel : la mer.

Pour ce faire, deux solutions s'offrent à vous :

  1. Vous n'avez ni le temps, ni la compétence et dans ce cas vous confiez ce soin à un professionnel qui saura ( pourra ? voudra ? ) se charger de la tâche moyennant une rémunération que vous jugerez, c'est selon, juste ,excessive voire dispendieuse. A vous de voir. C'est vous qui jugez !

  2. Vous vous chargez vous-mêmes de ces soins délicats. Dans ce cas, voici mes modestes et incomplètes recommandations.

  • mettre, si possible, votre bateau à terre, dans un hangar, une cour un jardin....Évitez cependant la chambre à coucher...Madame n'approuverait pas !

  • le nettoyer entièrement et particulièrement les « fonds » toujours encombrés de détritus divers  ( algues, bigorneaux, huiles brûlées, gazole...)

  • inspecter à fond la coque et réparer les outrages du temps et des heurts inévitables qui dégradent les peintures et les gelcoats. Mais attendre , cependant, le printemps suivant pour rénover les peintures.

S'agissant du moteur.

  • s'il s'agit d'un hors-bord. Le faire tourner dans l'eau douce , avec, éventuellement un détergent, pour éliminer les concrétions de sel dans le circuit de refroidissement. Démonter les bougies, verser quelques gouttes d'huile dans les cylindres , actionner 3 ou 4 fois le lanceur et remonter les bougies. Vidanger le réservoir à essence pour éviter le « glacis » du carburateur.

  • s'il s'agit d'un in-board. Faire tourner le moteur quelques minutes pour, qu'à chaud, vous puissiez le vidanger complètement. Changer le filtre à huile. Remplir à nouveau le carter d'huile neuve. Ainsi au printemps suivant votre compagnon redémarrera dans un bain de jouvence !


Vérifier toutes les connexions électriques car, en mer, dans cette atmosphère humide et salée, le cuivre des fils s’oxyde, noircit et se casse....Par ailleurs il faut aussi reconnaître que le «domino», pourtant si pratique, est l'ennemi du marin car, un mauvais serrage engendre, bien souvent, une prolifération de sulfates , cause de bien des pannes. L'idéal serait d'étamer au fer à souder toutes les terminaisons avant connexion.
                             

Vérifier le presse-étoupe. Il permet d'humidifier et de refroidir la partie de votre arbre d'hélice située dans l'étambot, sans, pour autant, remplir votre cale d'eau de mer.
Ne pas trop serrer le dispositif pour permettre un léger suintement, du genre « goutte-à-goutte ».
                     

Recharger vos batteries à bloc : peut-être en aurez vous besoin pour alimenter une pompe de cale si votre bateau est ouvert , et donc sans « vide-vite » pour évacuer les eaux de pluie.
                     

Vous pouvez aussi bâcher l'ensemble de votre embarcation, mais en assurant une ventilation naturelle pour éviter les phénomènes de condensation.
                  

Pour de plus précises recommandations, l'un des doyens de notre Amicale se tient à votre disposition. Il vous suffira de l'appeler au 02 96 92 60 22. Il n'est pas certain qu'il pourra répondre à tous vos problèmes, mais soyez assurés qu'il y mettra toute l'énergie qui lui reste encore. 

Assurer votre Bateau

 
Quelques questions utiles à se poser .  Par Maître Renaud GISSELBRECHT

Contrairement aux véhicules automobiles, l’assurance bateau n’est pas obligatoire. Certains règlements portuaires l’imposent comme c’est le cas à PENVENAN. C’est malheureusement lorsque sinistre survient que l’on découvre certaines “failles” dans son contrat et il semble nécessaire d’interroger son assureur afin de valider quelques points et vérifier ainsi que vous êtes couverts pour des sinistres qui sont loin d’être des cas d’école.
L’objet n’est pas de faire un cours théorique sur les bases de l’assurance plaisance aussi nous ne parlerons pas des couvertures de base que sont la responsabilité civile (pour les dommages causés aux tiers) et l’assurance corps de navire.
Cela étant, il est toujours utile de vérifier que votre bateau est assuré pour sa valeur réelle, voire au delà car assurer son bateau en deçà de sa valeur pour faire de fausses économies est une mauvaise idée.
En revanche, il est nécessaire de vérifier dans un premier temps que la couverture en cas de vol partiel (une embase de moteur par exemple) est complète et couvre tant en intégralité les pièces volées que les frais de remise en état qui peuvent être élevés. Les vols récents sur la région on fait découvrir à certains que leur contrat ne couvrait que très partiellement lesdits frais.
Au passage, il est peut être utile également de vérifier la couverture en cas de vol des effets personnels. En effet, certains contrats ne couvrent pas l’électronique de bord en tant que partie intégrante du navire mais en “effets personnels” pour lesquels le taux de couverture ne permet pas de remplacer ladite électronique qui est relativement coûteuse.
Ensuite, il est toujours utile de vérifier que son annexe et sa remorque sont couverts pour des valeurs suffisantes et que le transport terrestre sur remorque est également couvert. Vérifiez aussi si votre bateau est assuré lorsque vous le stockez chez vous et il n’est pas inutile de valider que le professionnel qui l’hiverne le soit également.
D’une manière générale, il est indispensable de lire le chapitre des “exclusions” dans le contrat qui indique ce qui n’est pas couvert et est parfois source de surprises.
Enfin, en cas de sinistre – il est pertinent, dans le cadre de l’expertise, d’avoir conservé les factures d’entretien (lesquelles mentionnent le nombre d’heures du moteur), les factures d’achat de l’équipement (sinon pas de remboursement) ainsi que quelques photos récentes afin de démontrer l’état de bon entretien du navire afin d’éviter un taux de vétusté trop élevé.
La notion de “vétusté” est un point important à vérifier lorsque l’on souscrit une assurance plaisance.
Sur ce dernier point on ne saurait trop conseiller d’assurer son navire “en valeur à neuf” lorsque ce dernier l’est.
En conclusion, un peu de lecture de votre contrat d’assurance s’impose pendant ces mois d’hivernage….en cas de doute, n’hésitez pas à poser ces questions (par écrit bien évidemment) à votre assureur qui se fera un devoir de vous répondre et de vous conseiller des garanties complémentaires en cas de besoin.

Ne ratez pas nos derniers événements, et restez au fait des dernières nouvelles concernant notre organisation.

Les nœuds de pêche

Les nœuds de pêche tiennent une grande place dans la panoplie du pêcheur tant leur rôle est important en action de pêche. Nous vous présentons une sélection de nœuds simples et rapides à exécuter qui vous permettront d'attacher efficacement un accessoire (hameçon, émerillon, poisson ­nageur) à votre ligne. Vous pourrez également découvrir les nœuds de raccord pour vos lignes.


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NŒUD DE CUILLER

Simple, solide et rapide à exécuter, ce nœud de base permet d'attacher efficacement leurre souple, poisson nageur, émerillon, mouche, etc. 

Étape 1 : passer le fil dans l’œillet de l'hameçon.
Étape 2 : former une petite boucle puis enrouler le fil autour de la ligne (5/6 tours).
Étape 3 : repasser le fil dans la boucle.
Étape 4 : mouiller le fil avec de la salive avant de resserrer puis couper l'excédent.

NŒUD PALOMAR

C'est un nœud d'une très grande solidité et qui ne glisse pas. Il permet de raccorder la ligne à un émerillon, un hameçon à œillet, un poisson nageur, une tête plombée...

Étape 1 : doubler la ligne avant de la passer dans l’œillet.
Étape 2 : faire un nœud simple.
Étape 3 : passer l'objet (hameçon, émerillon) dans la boucle puis serrer progressivement.

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NŒUD HAMEÇON À PALETTE

Ce nœud permet d'attacher tous les hameçons à palette quelle que soit la taille. C'est un nœud que tout pêcheur au coup doit connaître.

Étape 1 : former une boucle au niveau de la hampe de l'hameçon.
Étape 2 : maintenir la boucle à l'aide du pouce et de l'index puis enrouler le fil autour de la hampe (6 à 7 tours).
Étape 3 : Humecter le fil avant de resserrer le nœud en tirant sur le fil côté palette.

NŒUD DE CHIRURGIEN :

Ce nœud simple permet de raccorder efficacement deux fils de diamètre similaire. Il est déconseillé pour raccorder de la tresse avec du fil type nylon ou fluorocarbone car la tresse a tendance à sectionner le fil.

Étape 1 : placer les deux brins parallèlement.
Étape 2 : faire une boucle avec les deux fils.
Étape 3 : passer les deux brins à l'intérieur de la boucle. Recommencer l'opération 2 fois.
Étape 4 : humecter le nœud avec de la salive puis resserrer progressivement.

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NŒUD PEIXET

C'est un nœud très efficace pour raccorder de la tresse à du nylon ou du fluorocabone ou pour relier deux fils de diamètre différent. Sa glisse dans les anneaux est excellente.

Étape 1 : faire un huit avec votre fil nylon ou fluorocarbone.
Étape 2 : passer le corps dans la boucle.
Étape 3 : effectuer une quinzaine d'enroulements à l'aller avant de repartir vers la boucle en effectuant le même nombre de tours qu'à l'aller.
Étape 4 : repasser le fil dans la boucle.
Étape 5 : mouiller le nœud avec de la salive et serrer progressivement. Couper les excédents.

NŒUD  "BOUCLE DANS BOUCLE"

C'est un nœud de base simple et efficace qui permet de raccorder rapidement le corps de ligne au bas de ligne.

Étape 1 : faire une boucle à l’extrémité de votre corps de ligne.
Étape 2 : Passer la boucle du corps de ligne dans la boucle du bas de ligne.
Étape 3 : Passer l’extrémité du bas de ligne dans la boucle du bas de ligne avant de serrer.

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